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  BEN HOGAN
 
BEN HOGAN UNE LEGENDE 9 VICTOIRES DONT 9 MAJEURS!!!





William Ben Hogan (né le 13 août 1912 – décédé le 25 juillet 1997) était un joueur de golf professionnel américain et fut l’un des plus grands joueurs de l’histoire du golf.

Né quasiment à la même époque que deux autres golfeurs considérés comme des grands du XXe siècle, Sam Snead et Byron Nelson, Hogan est également reconnu pour l’influence marquée qu’il eu sur la théorie du swing de golf et la finesse de sa frappe qui fit sa renommée auprès des joueurs et des aficionados du golf.



Un swing d'une fluidité ancestrale, a voir et revoir...




On pense qu’il a développé un « secret » qui rendit son swing quasi automatique. Son secret, un mouvement particulier des poignets, connu sous le nom de « cupping under », fut révélé en 1955 dans un article du magazine Life, encore que beaucoup pensent que Hogan n’en dévoila qu’une partie. Depuis lors, on a prétendu dans le magazine Golf Digest que le second élément du secret de Hogan aurait été la façon dont il se servait de son genou droit pour mettre en branle son swing et, en outre, que ce mouvement était indispensable pour la mise en place correcte du mouvement des poignets.

Les « Cinq Principes Fondamentaux » et le manuel de golf [modifier]

Hogan pensait que la capacité d’avoir un swing de golf solide et reproductible ne nécessitait la maîtrise que d’un nombre réduit d’éléments essentiels qui, réalisés correctement et en séquence, constituaient l’essence du swing. Son ouvrage, "Cinq Leçons: les Principes Fondamentaux du Golf" est peut-être le manuel d’instruction de golf le plus lu jamais écrit, bien que le "Petit Livre Rouge" de Harvey Penick pourrait aussi revendiquer ce titre, et les principes qu’il contient sont souvent simplement répétés sans plus par les modernes « gourous du swing ».

Le livre de Ben Hogan « Le Cinq Leçons de Golf » fut initialement édité comme une série d’articles en cinq parties commençant avec l’édition de mars 1957 du magazine Sports Illustrated et fut publié sous forme de livre plus tard au cours de la même année. Il en est maintenant à sa soixante-quatrième édition et, aujourd’hui encore, il maintient une place proche du sommet des ventes chez Amazon.com. Le co-auteur du livre était Herbert Warren Wind et l’illustrateur était l’artiste Anthony Ravielli.

Technique de frappe de balle [modifier]

Ben Hogan est largement reconnu comme ayant eu la meilleure frappe de balle qu’on ait jamais vue. Son seul rival pour ce titre est le remarquable professionnel canadien Moe Norman dont le mouvement était marqué par un total manque d’orthodoxie en comparaison au swing de Hogan tout en étant redoutablement efficace.

La frappe de Hogan a été décrite comme quasiment miraculeuse part des observateurs aussi experts que Jack Nicklaus, qui ne le vit jouer que plusieurs années après ses meilleures années, mais qui a pu répondre à la question « Tiger Woods est-il le meilleur frappeur que vous ayez jamais vu? » en déclarant: « Non, non – Ben Hogan sans aucun doute ». (Golf Digest, avril 2004).

Un autre témoignage du statut obtenu par Hogan (et Norman) auprès des meilleurs golfeurs est fourni par Tiger Woods qui a récemment déclaré qu’il souhaitait « maîtriser son swing » de la même façon que Moe Norman et Ben Hogan. Woods n’hésita pas à clamer que ces joueurs étaient les seuls à avoir jamais « maîtrisé leurs swing » en ce sens qu’ils en avaient un contrôle total et, par conséquent, qu’ils contrôlaient également le vol de la balle (Golf Digest, janvier 2005).

Bien que sa frappe était peut-être la meilleure de tous les temps, Hogan est aussi connu pour avoir été un très mauvais au putting selon les normes professionnelles, en particuliers sur des greens lents. Bien qu’il ait souffert des « yips » à la fin de sa carrière, Hogan était reconnu à certains moments de sa carrière comme un putter efficace à distance moyenne à courte sur des surfaces rapides du style US Open.

Carrière et palmarès [modifier]

Hogan triomphant dans une parade domicilaire à New York, en 1953.

Pour la seule année 1948, Hogan a remporté dix tournois, y compris le U.S. Open à Riviera Country Club, un parcours appelé par la suite le « sentier de Hogan » en raison de son succès. Le Colonial Country Club à Forth Worth, un parcours de championnat moderne, porte le même surnom et pourrait le mériter plus. Le « sentier de Hogan » désigne également le complexe d’entraînement du FBI et, dans ce cas, l’appellation remonte à la fin du XIXe siècle en raison d’une bande dessinée. Ce n’est que plus tard que le nom fut attribué à des parcours sur lesquels Hogan excellait. Le sixième trou à Carnoustie, un par cinq au départ duquel Hogan choisit une ligne de jeu réputée pour sa difficulté à chacun des tours du British Open de 1953 a également été récemment surnommé le sentier de Hogan.

Avant son accident de 1949, Hogan n’était jamais réellement arrivé à conquérir le cœur des foules bien qu’il soit un des meilleurs golfeurs de son temps. Peut-être était-ce imputable à sa personnalité froide et réservée. Mais lorsqu’il ébranla et étonna monde du golf en participant à un tournoi seulement onze mois après son accident et qu’il pris une surprenante deuxième place au Los Angeles Open de 1950 après avoir perdu en play-off face à Sam Snead, il fut acclamé par des supporters en extase. « Ses jambes n’étaient simplement pas assez fortes pour porter encore son cœur », écrivit le fameux journaliste sportif Grantland Rice au sujet de sa courte défaite. Il devait prouver à ses critiques ainsi qu’à lui-même qu’il pouvait toujours vaincre en complétant cinq mois plus tard son retour en remportant son second U.S. Open au terme d’un play-off joué en dix-huit trous face à Lloyd Mangrum et George Fazio au Merion Golf Club. Hogan continua pour réaliser ce qui reste peut-être un des plus grands exploits sportifs, à savoir remporter sur une seule jambe valide douze nouveaux titres, dont six majeurs avant de prendre sa retraite. Ben Hogan eu même droit à une ticker-tape parade à New York à son retour de Carnoustie en 1953, la seule fois où il joua (et gagna), le British Open.

Il fut membre de deux équipes américaines de la Ryder Cup, en 1947 et 1951, et fut capitaine de l’équipe trois fois, en 1947, 1949 ainsi qu'en 1967 où il fit entendre qu’il avait amené les « douze meilleurs golfeurs du monde » à jouer en compétition. La même expression devait être utilisée par le Capitaine américain Raymond Floyd à l’occasion de la Ryder Cup 1989, encore que cette fois l’équipe américaine fut vaincue par l’équipe européenne sur le parcours du Belfry.

Hogan remporta le Trophée Vardon qui récompense le meilleur score moyen sur une saison trois fois: 1940, 1941 et 1948. En 1959, il remporta la Hickok Belt qui récompense le meilleur athlète professionnel de l’année aux États-Unis.

Par la suite, il devait fonder une manufacture de cannes de golf (aujourd’hui sous le contrôle de Callaway Golf Company) et ses clubs, du moins ceux qui portent son nom, son toujours utilisés de nos jours. Contrairement aux grands joueurs des années 1960 et 70, Ben Hogan ne joua jamais dans le Senior Golf Tour, circuit qui ne fut créé qu’au moment il avait largement dépassé l’âge de soixante ans.

Il fut intronisé dans le World Golf Hall of Fame en 1974. En 1974, on lui attribua le Bob Jones Award, la plus haute distinction accordée par la United States Golf Association en reconnaissance de sa sportivité exemplaire. Il devait décéder à Fort Worth, dans l'État du Texas.

Victoires sur le PGA Tour [modifier]





 
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